Il est toujours bon de se montrer attentif à ce que font nos voisins, même les plus éloignés géographiquement !
Lancée dans les années 80, la rémunération à la carte connaît un regain de popularité au Québec.
Elle repose sur un principe simple : offrir au salarié la possibilité de choisir les avantages sociaux qui lui conviennent le mieux au lieu d'adhérer à un plan uniforme.
Déjà connue en Europe, cette formule gagnerait pourtant à se démocratiser, notamment chez les PME. Attirer puis fidéliser les talents : voilà un enjeu vital pour ces dernières. Or, elles ne disposent pas des moyens financiers des grandes entreprises... C'est là que que la rémunération à la carte prend tout son sens.
Lancée dans les années 80, la rémunération à la carte connaît un regain de popularité au Québec.
Elle repose sur un principe simple : offrir au salarié la possibilité de choisir les avantages sociaux qui lui conviennent le mieux au lieu d'adhérer à un plan uniforme.
Déjà connue en Europe, cette formule gagnerait pourtant à se démocratiser, notamment chez les PME. Attirer puis fidéliser les talents : voilà un enjeu vital pour ces dernières. Or, elles ne disposent pas des moyens financiers des grandes entreprises... C'est là que que la rémunération à la carte prend tout son sens.
En faisant en sorte que chaque euro dépensé pour les avantages sociaux corresponde à ce que l'employé désire, l'employeur lui offre davantage... sans augmenter la masse salariale.
Il est cependant essentiel de mettre en place cette formule de façon structurée. Le système doit en effet être équitable pour éviter toute confusion voire des conflits chez le personnel. L'appui d'un expert RH pour la conception et la mise en place du projet semble dès lors le bienvenu.
Source : lapresseaffaires.cyberpresse.ca
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